Première Expérience Sexuelle Avec Un Couple D’Amis

Mariés depuis de nombreuses années, nous avions décidés de nous évadés sexuellement en envisageant plusieurs rencontres pour assouvir quelques phantasmes. Parmi ceux-ci le thème de la sexualité de groupe, appelé plus communément « partouze », revenait plus souvent de ma part, mon épouse étant plus réticente. Malgré cela et pour avoir visualiser quelques vidéos sur le sujet elle n’était pas contre cette expérience.

Après nous être inscrit sur les sites spécialisés, et après quelques semaines nous n’avions toujours pas trouvé notre idéal. Nous recherchions un couple débutant, comme nous, dans nos âges sans toutefois pratiquer l’échangisme, du moins dans un premier temps. Aussi lors d’une soirée chez des amis, nous avons fait la connaissance d’un autre couple, plus jeune que nous, avec qui nous avons bien discuté et trouvé quelques points communs. Cette entente nous incita à nous revoir pour passer une bonne soirée et faire plus ample connaissance.

Ils nous invitèrent chez eux pour un repas et nous passâmes une très bonne soirée. Celle-ci conforta notre première intuition sur l’entente commune et la possibilité d’une relation privilégiée, sans pour cela que nos discussions abordent la sexualité. Quelques jours passèrent et nous les invitions au restaurant.

Nous avions réservé une table dans un restaurant que nous connaissions bien et avions choisis une table à l’écart, dans un endroit plus intime, afin de ne pas être dérangé par les discussions des autres convives.

Nous étions habillés de façon classique, mon épouse arborant une robe noire, bras nus, léger décolleté, bas noirs et chaussures basses.

Nos invités arrivèrent, très bien habillés. Mon regard se dirigea instinctivement sur la tenue très sexy de la femme. Habillée d’une robe noire avec fermeture éclair de bas en haut, laissant la possibilité d’un décolleté « réglable », de bas résille et de talons hauts, elle avait fière allure.

Voyant mon regard figé sur ce spectacle, mon épouse me donna un coup de pied pour me rappeler à l’ordre. Le dîner s’en suivi normalement avec cette fois-ci quelques allusions sexuelles dans nos discussions mais pas de quoi deviner nos ambitions.

La femme s’absenta pour se rendre aux toilettes. Elle revint quelques instants plus tard et je remarquai que le décolleté était plus ouvert qu’avant son absence et la vue que j’en avais ne laissais aucun doute sur l’absence de soutien-gorge. Elle vit mon regard et me fit un sourire.

Il me vint aussitôt à l’esprit que nous avions peut-être là le couple que nous cherchions depuis des semaines et je tentais dans mes discussions une approche plus ciblé dans le domaine sexuel.

Nos hôtes ne semblaient pas choqués par ce sujet et semblait être content d’aborder ce sujet. La soirée se termina au petit bar du restaurant, avant de nous diriger vers nos véhicules.

« Voudriez-vous venir boire un dernier verre à la maison, avant de rentrer ? » nous demanda l’homme.
Je regardais mon épouse et celle-ci acquiesça de la tête pour acceptation.
« Oui, pourquoi pas ! » répondis-je.

Nous remontâmes dans nos véhicules et j’entamais la discussion avec mon épouse :
« Tu ne penses pas que ce couple pourrait-être celui-ci que nous cherchons pour une première partouze ? »
« Je ne sais pas, qu’est ce qui te fais dire ça ? » me répondit-elle.
« Tu n’as pas vu son décolleté ? Plus ouvert qu’au début de la soirée ! je voyais presque ses seins. » lui dis-je.
« C’est vrai qu’elle a une belle poitrine, elle peut se permettre de la faire voir » me dit-elle.
« Et lui, il te plait ? » lui demandais-je.
« Oui, il est pas mal, j’en ferai bien mon 4 heures » me répondit-elle en rigolant.

Notre discussion s’arrêta là et nous arrivâmes chez nos amis. Nous nous installâmes dans le salon, moi dans un fauteuil et mon épouse sur le canapé pendant que nos amis préparaient les verres et le digestif. L’homme s’installa dans l’autre fauteuil tandis que la femme, après nous avoir servi, s’installa dans le canapé. Les discussions allaient bon train et la femme s’absenta pour se rendre dans la cuisine. Elle revint quelques minutes plus tard et s’installa de nouveau sur le canapé à droite de mon épouse, juste en face de moi.

Jambes croisées, je devinais de belles jambes longues sur lesquelles les chanceux bas noirs caressaient sa peau. Puis elle décroisa ses jambes pour les écarter doucement et progressivement, au fil de minutes interminables, jusqu’à ce que j’entrevoie son intimité que j’apercevais maintenant d’une nudité la plus totale. Nul doute que les sous-vêtements n’avaient pas été conviés à cette soirée.

Son mari, voyant le spectacle qu’elle m’offrait, n’était pas insensible à la scène, car son bas ventre présentait une protubérance assez significative de l’excitation que son épouse induisait. Celle-ci caressait maintenant le bras droit de mon épouse en de doux et légers effleurements avec le dos de ses doigts. Sa main remontait progressivement sur le haut de son bras jusqu’au épouse. Elle se mit de côté pour mieux la caresser et lui dit :

« Vous aimez les caresses ? »
« Quelle femme n’aime pas les caresses ? » répondit-elle en souriant.
« Et les caresses entre femmes ? » demanda-t-elle.
« Oui, j’aime assez ! et vous ? » demanda mon épouse.
« J’adore !!! » répondit l’autre femme avant de poursuivre :
« J’aimerais bien voir vos seins ! »
« Il ne sont pas aussi beau que les vôtres » répondit mon épouse.
« Qu’en savez-vous ? » répondit l’autre femme.
« Je les devine au travers de votre décolleté » répondit mon épouse.

Sans même attendre la femme fit glisser le zip de sa robe de quelques centimètres et laissa apparaitre une poitrine ferme et généreuse. Elle s’empressa aussitôt de mettre sa main sur le sein droit de mon épouse pour comparer l’opulence des deux poitrines, puis elle dit :

« J’ai bien un repère tactile mais je préfère le visuel »

Elle demanda à mon épouse de se lever pour lui ôter sa robe, celle-ci s’exécuta et fit glisser sa robe le long de son corps que j’aime tant à caresser. Mon épouse était maintenant, debout, à moitié nue, en sous-vêtements et bas, sous le charme de sa maitresse qui était derrière elle et laissait ses mains parcourir son corps. Elle lui ôta son soutien-gorge et s’empressa de saisir les beaux seins qui s’offraient à elle. Elle se positionna devant elle et lécha les tétons avec délectation. Puis elle lui demanda de se rassoir. Mon épouse s’exécuta aussitôt pendant que son amante en finissait avec la fermeture éclair de sa robe pour la laisser apparaitre nue comme un vers.

Pendant ce temps, nous les hommes, regardions le spectacle offert par les deux femmes et nos mains discrètes passaient de plus en plus souvent près de notre bas ventre avec la certitude d’une future masturbation. Mais c’était à qui commencerait le premier, car nous étions aussi timides l’un que l’autre, ce qui n’était plus le cas de nos épouses qui avaient fait abstraction de notre présence.

Mon épouse s’était maintenant rassie et sa maitresse, à genoux sur le sol devant-elle, se saisi de sont string pour le faire glisser le long de ses jambes, laissant apparaitre le sexe lisse et déjà humide de mon épouse. Elle lui écarta les jambes et embrassa, lécha chaque centimètre carré de peau jusqu’à l’interdit. Le corps de mon épouse ondulait de plaisir, chaque coup de langue ou baiser lui procurant une montée vers le plaisir ultime. Son amante plongea enfin sa tête dans son intimité. Entre chaque coup de langue, elle aspirait le jus du plaisir, ses sucions étaient accompagnées de râles des deux femmes qui augmentait notre excitation.

Son époux pris l’initiative de se déshabiller et tenta une approche en présentant son sexe raide et tendu aux abords du sexe de son épouse pour une levrette. Celle-ci le repoussa aussitôt en lui disant :

« Plus tard, laisse-nous prendre notre plaisir ! »

L’homme se rassied, un peu déçu, mais entamant la tant attendue masturbation. Puis il me dit :
« Tu peux en faire autant, si tu veux ? »

Bien que nous nous entendions bien, jusqu’à présent notre relation s’en était maintenue au vouvoiement, d’une part de par notre éducation mais aussi par la différence d’âge qu’il y avait entre nos deux couples. Aussi et vu que la situation nous avait mis à nu, le tutoiement devenait incontournable et logique.

Je m’exécutai donc avec satisfaction et me dénudait pour moi aussi me donner du plaisir face à tous ces sexes qui s’offraient à mes yeux et qui m’excitaient de plus en plus.

Mon épouse ne cessait de gémir face aux multiples caresses que lui procurait sa maitresse et un orgasme intense fit trembler son corps, à la grande satisfaction de sa bienfaitrice. Celle-ci se releva, le visage inondé de la jouissance de mon épouse, s’asseyant à côté de mon épouse, pour une étreinte buccale très excitante ou les langues se croisaient goulument accompagnés de tendres gémissements.

Pendant cette scène bucolique, mon épouse avait entrepris de caresser les cuisses de sa maitresse pour accéder progressivement à son bas ventre et, y parvenant, introduisit un, puis deux doigts dans le sexe de sa promise. Celle-ci ouvra les jambes sans aucune pudeur, laissant libre accès à un sexe luisant et trempé d’excitation. Après quelques va et vient, elle demanda à mon épouse de s’allonger sur le canapé, ce qu’elle fit immédiatement, puis elle lui présenta son sexe sur le visage. Mon épouse saisi sa compagne par les hanches et commença un beau et long cunnilingus pour le grand plaisir de sa maitresse dont son corps exprimait déjà le plaisir promulgué par une langue douce et experte que j’aimais tant voir sur mon sexe habituellement.

La scène était tellement excitante que le bout de nos sexes brillaient par les quelques gouttes de liquide séminal qui s’échappaient déjà de la cime de nos verges tendues.

Les deux femmes prenaient beaucoup de plaisir et rien ne pouvait perturber leur complicité, même pas un regard vers nous. Même si nous n’avions pas été là, cela aurait été pareil, elles étaient dans leur monde, peut importe ce qu’il y avait autour. Mais peu importe, vivre cette scène de deux femmes qui se donnent du plaisir est qui pour beaucoup reste un phantasme, nous satisfaisait pleinement.

Mon épouse accentuait ses coups de langue et suçait le petit bouton qui durcissait à chaque sollicitation. Sa maitresse se caressait les seins pendant que les mains de mon épouse caressaient les fesses de celle-ci avec par moment quelques attouchements anal. Quelques instants plus tard, c’est un orgasme profond qui pris possession du corps de la jeune femme. Après quelques secondes elle reprit ses esprits et s’allongea sur le corps de mon épouse pour une séance de doux et longs baisers langoureux avec câlin final. Elle releva la tête puis dit à mon épouse :

« C’était très bon ma chérie, tu m’as bien fait jouir, il faudra qu’on recommence ! »
« Si tu veux » lui répondis mon épouse en souriant et en l’embrassant.

Nous avions cessé nos masturbations et nos sexes avaient quelques peu repris leur position initiale quand elles s’apercevaient enfin que nous existions en s’exprimant :
« Tiens vous êtes toujours là ? Y’avais pas un match de foot à la télé ? » dit l’une d’entre elle en rigolant.
« Non, nous avons profité de ce beau spectacle que vous nous avez offert et puis on s’est fait du bien » leur répondis-je.
« Vous avez jouis ? » demanda aussitôt l’épouse avant de poursuivre « Je n’espère pas car il va falloir nous honorer et nous satisfaire messieurs !!!) »
« Non, mais il s’en est fallu de peu » répondis son mari en me regardant.

Les deux femmes se levèrent et respectivement s’agenouillèrent devant nous. En parfait synchronisation elles se saisirent de nos sexes pour les engloutir, les lécher et les sucer avidement. La jeune femme attrapa le bras de mon épouse l’invitant à sucer son époux. Celle-ci se déplacer et les deux femmes pratiquait une double fellation sur le mari comblé. Puis ce fût mon tour de connaitre ce moment avant que chacun ne reprenne sa place respective.

Ayant envie de pénétration, j’invitai mon épouse à se positionner à quatre pattes pour lui exécuter une bonne levrette, position qu’elle affectionne particulièrement. Elle s’exécuta immédiatement et j’entrais en elle avec une envie folle de jouir. J’allais et venais en elle avec une telle intensité que les nos deux amants eurent envie de nous rejoindre. La jeune femme se positionna devant mon épouse, lui offrant de nouveau son sexe, pendant que son époux lui proposait son sexe aux abords de son visage. Elle reprit aussitôt sa fellation et mon épouse entreprit un nouveau cunnilingus sur ce sexe de nouveau prêt à jouir.

La vision de toute cette attente de plaisirs, de corps ondulant, de gémissements, m’excitait terriblement et je ralentissais mes ardeurs pour ne pas jouir tout de suite. Mon épouse se masturbait d’une main pendant que je la pilonnais et qu’elle léchait l’intimité de sa maitresse. Celle-ci eu un nouvel orgasme et son époux ne pu se retenir en se libérant en de multiples jets inondant le doux et beau visage de son épouse. Devant la multiplicité des orgasmes, mon épouse ne tarda pas à suivre le couple dans son atteinte du plaisir.

Le couple éreinté se releva et s’asseyait sur le canapé tout en nous regardant. Le visage de la jeune femme encore souillé par la semence de son homme attendait mon étreinte finale.

Je demandais à mon épouse de se retourner pour la prendre sur le dos, elle s’exécuta et j’entamais une nouvelle pénétration. Nos deux amants nous regardaient sans en perdre une miette. Pendant ma pratique je regardais la jeune femme et j’imaginais que c’était elle que je pénétrais. Le liquide séminal de son époux coulait lentement de son visage sur son corps, dessinant de petits filets brillants sur ses seins et descendant progressivement sur son sexe. Elle comprit mon regard et écarta ses cuisses pour vérifier ma suspicion. Le sperme était descendu jusque sur ses lèvres son clitoris brillait comme un joyau et au moment ou j’imaginais lécher cette vulve offerte, je m’abandonnais en de multiples jets chauds qui inondèrent le ventre de mon épouse. Les jets les plus intenses ayant atteints le visage et les lèvres de mon épouse, notre amante s’empressa de venir l’embrasser pour se délecter de ma semence et lécher le corps de sa complice.

Après un petit brin de toilette, nous nous reposâmes quelques minutes et tout en restant nus, nous reprenions un dernier verre tout en discutant ce cette expérience.
La jeune femme demanda :
« Alors comment était-ce ? vous avez aimé ? »
« Oui, c’était très bien, nous n’avions jamais fait cela à quatre mais c’était super, merci pour ce bon moment » lui répondis-je.
« Nous aussi c’était la première fois » répondit le mari avant de poursuivre « j’ai bien aimé, je pense qu’on recommencera ».
« Oui mais avec eux » s’exclama son épouse en le regardant.
« Si tu veux » répondit son mari.

La conversation dura encore quelques minutes, avant de nous rhabiller et nous nous quittions fatigués, mais nos corps et nos esprits pleinement satisfait de cette expérience.

Nous nous sommes vus plusieurs fois par la suite pour d’autres moments tout aussi intenses et encore plus ouverts à la découverte d’une sexualité débridée.